Suite anamorphose : vidéo d’art de Sylvie Chenard

Film suite anamorphose de Sylvie Chenard
Suite anamorphose, film et musique de Sylvie Chenard

La vidéo Suite anamorphose est le deuxième écopoème dans le cadre du projet Trame érosion d’où émerge la beauté nature/culture numérique, l’anamorphose des paysages et de la nature de Portneuf-sur-Mer, des rassemblements pour plus de justice et de non-violence, du village, de la communauté, du monde que nous voulons créer.

La musique présente des expérimentations, improvisations à la guitare électrique en différentes gammes de Si symbolisant les si et les peut-être des conditions à la prévention, la réparation, la préservation et la régénérescence, en ce 25 novembre 2019, Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes.

Le film se joint aux célébrations de la résilience, du courage, de la résistance, de la fierté des femmes pour le respect de leur dignité et l’accès à l’égalité; pour rappeler les limites, tramer le réel et l’imaginaire, l’amour et le politique, et participer à la réécriture féministe, pacifiste, écologiste de l’avenir souhaitée à travers le monde.

La vidéo d’art Extrait Suite anamorphose, film et musique de Sylvie Chenard (09:55) est distribuée depuis mai 2020 par le GIV – Groupe Intervention Vidéo.

Pour plus d’information sur le Projet Trame érosion
https://sylviechenardartiste.com/projet-trame-erosion/

Projet Trame érosion

Écopoème
Film et musique
de Sylvie Chenard

Le projet Trame érosion permet d’élaborer des recherches et des créations d’animation et de musique à partir entre autres de photographies numériques ayant pour thème les paysages et la nature de Portneuf-sur-Mer, impliqués dans des processus d’érosion, de transformation, à l’heure des changements climatiques et des mouvements de révolte pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et notre consommation. Le projet débute avec cette vidéo.

Vidéo de Sylvie Chenard Trame érosion (14:08)(format mp4)

Érosion

À l’aide de nouvelles approches et techniques multimédias, le projet présente les résultats d’une série de travaux visuels avec un effet de caléidoscope mettant en relief les transformations, les métamorphoses de notre environnement, de notre perception. Une application de logiciel produit une interaction entre l’image et le son. Des instruments sonores instables servent à accentuer le propos : erhu, simulation midi des percussions jazzées, sonorités électroniques et numériques.

Les thématiques d’écologie, de féminisme sont ici approfondies, étant influencées par l’effet Portneuf-sur-Mer et Côte-Nord et par la résilience et la résistance populaire.

Avec les changements climatiques qui s’accélèrent de plus en plus, nombreux paysages subissent une érosion accrue et se transforment radicalement, ce qui nécessite des périodes d’adaptation et occasionne des craintes, des angoisses, des deuils. Nous sommes subitement placés devant des faits accomplis de délitescence, d’entropie, de dystopie, devant la perte de repères, de marqueurs identitaires.

Dernièrement, suite à de grandes tempêtes à Portneuf-sur-Mer, nous avons perdu à grand regret un magnifique morceau de forêt marquant l’horizon sur le banc de sable (patrimoine nord-côtier unique), que nous appelions  affectueusement l’ile.

Trame

Le projet décline différents sens du mot Trame, engagé dans un processus d’érosion : ce que le mot trame peut désigner en textile, en imprimerie, en dessin, en informatique, en littérature, en vidéo, en arts du spectacle, en urbanisme, en histoire, en sociologie, en médecine.

Le projet Trame érosion élabore un écopoème d’amour de l’individu avec son environnement qui subit cette érosion due aux crises climatiques, environnementales, sociales, politiques. Le projet comporte des aspects vidéo, sonore et visuel. En filigrane, des extraits de vidéos représentent des postures de l’individu dans son environnement : protection, respect, admiration, confiance, célébration.

Cet écopoème d’amour souhaite souligner la qualité de cette relation de l’individu à son environnement en situation de précarité. Environnement et temporalité sont abordés dans une version idéalisée, esthétisée de cette relation qui s’inscrit dans le réel des destructions, des altérations que nous connaissons à l’échelle planétaire, résultant de choix de société. Individu et environnement s’en trouvent affectés d’une même manière, ce que nous tendons à oublier dans la vie quotidienne. Célébrer la beauté, la résilience, rappeler les limites, tramer le réel et l’imaginaire, l’amour et le politique, participer à cette réécriture de l’avenir souhaitée à travers le monde en ce 15 mars 2019, c’est ce que propose ce projet.

De façon générale, les projets de Sylvie Chenard présentent des créations musicales et multimédias issues de la rencontre et de la subversion de diverses tendances esthétiques basées sur l’expérimentation, l’improvisation libre et l’engagement social.

L’usage des nouvelles technologies renforce des possibilités expérimentales, aléatoires, cinétiques, improvisées.

Distribution du film LIMITES par le GIV

L’autoproduction LIMITES réalisée par Sylvie Chenard en 2018 est désormais distribuée par le GIV – Groupe Intervention Vidéo. En effet, c’est à compter du mois d’août qu’une entente est intervenue et que cette vidéo d’art en version numérique haute résolution est distribuée.

Limites est un film expérimental qui présente les musiques et les animations visuelles de Sylvie Chenard à partir d’applications de logiciel multimédia et d’illustrations numériques inspirées de l’expérience des limites auxquelles nous sommes constamment confrontés, surtout celles de la sensibilité et la fragilité des êtres et des écosystèmes. Ce manifeste sonore et visuel dépeint une toile poétique multicolore pour célébrer la solidarité, la diversité et réfléchir aux limites sociales, aux limites environnementales qui nous incombent.

Limites – Film et musique de Sylvie Chenard, 2018

LIMITES - film et musique de Sylvie Chenard
Extrait de LIMITES – film et musique de Sylvie Chenard

Limites – film et musique de Sylvie Chenard

Limites est un film expérimental qui présente les musiques et les animations visuelles de Sylvie Chenard à partir d’applications de logiciel multimédia et d’illustrations numériques inspirées de l’expérience des limites auxquelles nous sommes constamment confrontés, surtout celles de la sensibilité et la fragilité des êtres et des écosystèmes. Ce manifeste sonore et visuel dépeint une toile poétique multicolore pour célébrer la solidarité, la diversité et réfléchir aux limites sociales, aux limites environnementales qui nous incombent.

Limites – Film et musique de Sylvie Chenard, 2018

Ouvrage RÉSIDUEL de Sylvie Chenard

Au cours de 2017, Sylvie Chenard a pu réaliser recherche et création à partir de matière résiduelle numérique.
La vidéo Ouvrage RÉSIDUEL présente expérimentation, animation et musique issues de ces travaux qui explorent des aspects orbiculaires, cinétiques et aléatoires.
Ces travaux influenceront plusieurs formes de diffusion multimédia au cours de 2018.

Distribution du film Les lieux de la danse par le GIV

L’autoproduction Les lieux de la danse réalisée par Sylvie Chenard en 2017 est désormais distribuée par le GIV – Groupe Intervention Vidéo. En effet, c’est à compter de septembre qu’une entente est intervenue et que cette vidéo d’art en version numérique haute résolution est distribuée.

Les lieux de la danse présente film et musique de Sylvie Chenard, des expérimentations visuelles à partir d’animations, de photographies, d’illustrations, de logiciels multimédia, et des recherches musicales à la voix, à la guitare, au erhu et aux électroniques.

Depuis de nombreuses années elle inscrit ses créations visuelles et sonores dans des processus aléatoires et cinétiques. Elle est diplômée au certificat en études cinématographique de l’Université du Québec à Chicoutimi et à la maîtrise en communication, concentration multimédia interactif de l’Université du Québec à Montréal.

Les lieux de la danse
Extrait du film Les lieux de la danse de Sylvie Chenard, 2017

La création de ce jardin poétique est inspirée des musiques de danse et élaborée d’après les thèmes du respect de la nature et des cultures, de la non-violence et de la diversité.

Une version préliminaire en très basse résolution est diffusée sur YouTube. La musique est diffusée sur Bandcamp.

D’élan et de liberté : retour sur le Lancement du livre Écrits de la baleine

Extrait lu lors du lancement et archives vidéos revisitées

L’instrument de musique est un violon chinois nommé erhu.

Merci aux librairies l’Euguélionne, Bouquinbec, à la Fédération québécoise du loisir littéraire pour leur collaboration chaleureuse très appréciée; merci à mes amies, amis, à ma famille pour leurs encouragements et leurs appuis, particulièrement : Claudie, Rachel, Jean, Maryse, Diane, Jon, Alexandre, Lina, Suzanne, Rémi, Cécile.

Pour la suite, pour des lectures publiques et des spectacles, contactez l’agente !

La nuit du retour de l’océan

L’offrande. Le retour, les mains tendues, arrachées, le sabotage, l’éphémère. Yeux attachés à la chair, au quotidien. Chérir le sillon de l’histoire. La nuit de l’éphémère s’y repère. Un guide de l’océan, la recherche de l’équilibre, de ­l’égalité. La ligne d’horizon tangue, collée, murmure, disparate, avale la terre, l’envahissement. La raison du peuple d’eau, des nuits rompues d’obligations, un répit de nuit. L’amour s’installe sur les parois millénaires, la prisonnière politique est libérée, guidée par la mer. Les corps se diluent, les droits liquéfiés, l’eau bouge la nuit en des seuils et des contours perdus, retrouvés, la persistance de l’accomplissement, l’avancée des proximités. Égarement sans faute.

L’énergie circule entre nous, dans cet abandon, ce respect ; désemparés, sans obstacles, les mots naissent de la nuit et de l’abondance. Nous broyons ce noir de nos nuits lumineuses, minimales, crevées d’impatience qu’advienne le bon temps de la nuit, la bonne marée, les bateaux immenses dans l’anse, la marche autochtone millénaire dans les traces des premiers humains passés là, dans les nuits des temps, d’étreintes, charnelles. La présence des peuples millénaires, leurs eaux noires, polaires, les reflets s’avancent dans le fjord, notre parole mutante bénie par les nuits lucides, sans artifices. Les musiques nocturnes se font entendre malgré les exigences du jour. Cette précieuse amoureuse de la certitude du geste, de sa portée du changement.

 

Collaboration : Diane T. Tremblay et Sylvie Chenard

Amies de longue date, Diane T. Tremblay et Sylvie Chenard collaborent depuis plusieurs années afin de réaliser des projets de création et de diffusion. Parmi ceux-ci :

Vidéo : Les vraies histoires

En cette fin d’année 2016, elles débutent un nouveau projet multidisciplinaire dont une vidéo en guise d’introduction « Les vraies histoires », d’après une idée originale de Diane. L’apport principal de Diane se situe à la conception visuelle et vidéo et celui de Sylvie à la conception sonore et à la création vidéo.

Les vraies histoires de Diane T. Tremblay et Sylvie Chenard, 2016 sur Vimeo.

Autres collaborations

Vidéo : Peuplement, Acte I, de Diane T. Tremblay

En 2012, Diane réalise un dessin animé au format vidéo¸ et assure la direction artistique et la conception graphique de celui-ci, avec la collaboration de Sylvie à la musique et à l’assistance à l’animation.

http://www.dianettremblay.com/Peuplement.html

Site Web : Diane T. Tremblay

Diane réalise et diffuse un site Web concernant sa production artistique, avec l’assistance de Sylvie comme webmestre.

http://www.dianettremblay.com/

Vidéo : L’art de Diane T. Tremblay, de Sylvie Chenard

En 2009, Sylvie réalise une vidéo documentaire hommage, où elle explore l’espace de vie et de travail de l’artiste Diane T. Tremblay à St-Damien en 2006, tout en développant une oeuvre sonore au long de son parcours.

http://www.lesprojetsdelabaleine.net/Art_diane_t_tremblay.html

Promotion et réalisations

Ce nouveau site présente des éléments des productions artistiques de Sylvie Chenard et recrée de petites histoires créatives à leur propos.

De nouveaux agencements permettent d’approfondir des tensions et l’émergence de dimensions esthétiques, éthiques et sociopolitiques inédites.

Une sélection aléatoire à l’ouverture parmi les illustrations de la série d’illustrations La maison du fleuve réalisée par Sylvie Chenard en 2016 est offerte.

Ces illustrations sont élaborées à partir du projet Mitinekapish – la maison du fleuve, multimédia et musique inspirés entre autres par la Côte-Nord et Portneuf-sur-Mer et des thématiques d’identité, de collectivité, de territoire, de lieux, d’âme et de corps toujours à s’actualiser pour la défense des droits des peuples autochtones et des droits des femmes.

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